Alliance

-Kaiser entra dans la salle qu'il avait gardée pour un jour...
Il mit quelques chaisses et attendue l'arrivée de plusieur Empereurs.

Bonjour chère empereur je suis ici pour cherché des personnes prètes pour crée une alliance !
Des membres et des idées.
Si vous êtes intérésses Envoye moi un message par Droid .


-Kaiser ne bougea plus et attendue quelques réponses.

*Dark_Teale qui passait par la entendit ce que venait de dire Kaiser*

Dark_Teale reflechit avant de dire:
Moi cela m interesse Kaiser, seulement des affaires me retienne momentanément sur ma planète (HRP: je suis en examen, je termine mardi prochain) mais des que mes affaires seront finnient, je serais ravis de faire parti des votres

*Sur ses paroles, Dark_Teale saluat Kaiser avant de prendre conger de cette imperatrice*

Kaiser entra dans la salle qu'il avait laché dpeuis assé longtemps...

Bonjour je serait ravis de vous avoir de mes côtés...
L'alliance vas mettre du temp à se faire.

Kaiser resta ...

Douce brise... Un vent chaud déferlait dans les rues de Sénata V, un vent par rafales, apte à emporter couvre-chef si l'on n'y prend gare. Dans cette ruelle déserte, ou personne n'allait, se tenait pourtant une conférence. Peu de monde s'y était rendu, certainement par peur de l'inconnu, et cela arrangeait bien le Chapelier. Sur les murs des résidences, allant de temps en temps sur le sol pavé de cette allée, une ombre se déplaçait, seule, en plein soleil. Allant et venant, au gré d'une envie inconnue de tous, elle pénètrait dans chaque endroit qui l'interressait, mais repartait aussitôt, rien ne saurait l'amuser ici...

Néanmoins, une petite lueur l'intriga... Une faible lumière éclairait l'intérieur d'une salle dont la porte était entreouverte. Toujours de la même manière, il s'y infiltra, écouta les piètres discours, et se décida enfin à faire quelque chose d'autre que de se promener. Une main gracieuse, gantée de blanc, sortit de l'ombre, puis un bras nu, suivi du second bras, puis d'un chapeau de marquise, puis du reste du corps... Le Chapelier était apparu dans cette salle, sortant de l'ombre, à la stupéfaction de tous. Il prit une légère inspiration, soupira, et s'adresse directement à Kaiser.

Nous vous souhaitons une bonne journée, Kaiser.
Par notre présence ici, vous venez de vous faire une nouvelle relation, un très bon allié si vous remplissez les conditions adéquates, ou un ennemi sans faille si vous ne désirez pas vous soumettre. Si vous vous décidez à être de notre côté, vous aurez tout le soutien nécessaire pour mener à bien votre projet, en revanche, dans le cas contraire, nous nous verions forcé, pour notre orgueil, de réduire à néant vos efforts...

Le Chapelier sourit.

Sachez que nous sommes Légion, et que notre aide vous serait plus que précieuse... Il vous suffira de m'appeler pour que je vienne en ce lieu, je suis le Chapelier, ne l'oubliez pas...

Il disparu dans l'ombre du mur derrière lui, ne laissant là que quelques plumes noires, et un bouquet de roses rouges, il attendait son heure.

Quelle est donc cette faculté de se transformer d'un moment à l'autre ? Précédemment, l'objet de l'attention du Chapelier était de sexe masculin, et voila que ses yeux se retrouvaient face à une femme... Il y a des mystères que même lui ne s'expliquait pas... Sortant de l'ombre du plafond, la tête en bas, tenant son chapeau pour ne pas qu'il tombe, le Chapelier sourit et répondit à son interlocuteur.

Voici de bien étranges manières... Vous parlez aux murs ? Nous pensions être le seul fou dans cet asile...
Nous ne sommes que le Chapelier Fou, il n'y a rien à savoir de plus.

Un sourire lui barrait le visage, tandis que son maquillage changeait seul. Les larmes dessinées sous ses yeux devirent sourires carnassiers. Il retira son chapeau, y plongea la main et en ressortit un crâne vieux de quelques centaines d'années... Un serpent sortit de l'orbite d'un des yeux du crâne, s'enroulant autour du cou du mystérieux personnage. Ce dernier regagna le sol, et fini de répondre à Kaiser.

Un peu de mise en scène ne fait pas de mal, vous ne trouvez pas ? Nous sommes prêt pour le bal, à vous de nous accompagner ou non, que décidez vous ? Il n'y aura pas de rédition, ce choix vous sera définitif...

Volontairement, le Chapelier avait esquivé les questions, et maintenant, il attendait réponse de l'esprit maléable qu'il avait face à lui.

-Kaiser s'arréta et attenda...


-Je voudrais au moin s'avoir ou je mais mes pieds .
Je pense que c'est normale.

-kaiser ne bougea devant t'elle réponse.

Voici qu'un débat à l'origine dénué d'intérêt se transformait en théatre de rencontres incongrues... Cela intriguait au plus haut point le Chapelier, si bien qu'il se prêta au jeu. Un sourire aux lèvres, il envellopa Tienn dans un voile, qu'il enleva la seconde suivante... Le Chapelier Fou savait manier l'art de la magie comme nul autre, ou plutôt de l'illusion, et Tienn fut surprise de voir que ses vêtements avaient changé... Maintenant, ses cheveux étaient détachés et allaient au vent, lorsqu'il y en avait, elle portait un haut ne couvrant que sa poitrine, fait de tissu rustre et ancien, assez mal taillé, il en allait de même pour la jupe qu'elle arborait à présent, tandis qu'elle allait pieds nus. Il sourit, content du résultat, exprimant ce contentement par un parfait sonore.

Reprenant le fil de la discussion qu'il avait commencé avec Kaiser, il délaissa un instant celle qu'il se plaisait à nommer la petite sauvageonne pour s'adresser au descendant d'une longue lignée d'incultes.

Oui, il est normal pour vous de ne pas vous aventurer dans l'inconnu, même si celui-ci est bien plus grisant que la sûreté des chemins déjà tracés. Nous vous laissons le choix, alliez vous à nous, et nous vous offrons la puissance en échange de la soumission, refusez cette alliance, et vous sombrerez, une fois de plus...

A nouveau, le Chapelier Fou tourna son attention vers Tienn, un sourire tiré, presque forcé, sur son visage.

N'êtes vous pas mieux vêtue ainsi ? Nous trouvons que ce style vous sied à ravir, au moins, vous êtes sèche... Revenons en donc à notre petite discussion, ainsi, nous vous intrigons au point de venir nous questionner directement ? Voila qui est fort peu aimable, mais je suppose que cela ne fait qu'affirmer que votre titre de sauvageonne vous aille à merveille.
Que souhaitez-vous savoir à notre sujet ?

En voyant sa tenue, Tienn avait poussé un petit cri, non pas de terreur - elle était habituée a la magie - mais d'étonnement : la facilité et la rapidité avec laquelle le Chapelier avait accompli son acte avait impressionné la jeune femme. Elle cacha le haut de son corps avec ses bras par pudeur.

" Hem.. Excusez moi, mais, ma magie n'est pas du meme domaine que la votre, et il n'est pas dans mon pouvoir de changer si aisément des objets matériels. Non pas que la tenue que vous avez choisie pour moi me déplaise, mais elle est inconfortable. Je vous serai grée de bien vouloir cesser de vous amuser de cela et de me rendre mon pantalon et ma veste..."

Voyant le sourire (qui lui sembla triste ) de son interlocuteur, la jeune femme sourit a son tour.

"Pardonnez moi, il n'est pas dans mes habitudes de m'énerver ainsi. Pardonnez moi aussi si mon attitude vous a paru impolie, ce n'était pas mon but.
Vous me proposez de poser des questions mais...y répondrez vous seulement? ou les esquiverez vous de cette ci gracieuse maniere a laquelle j'ai pu m'habituer?

Quoi qu'il en soit, je tente ma chance. J'aimerai que vous m'appreniez, que vous m'appreniez vos origines, car vous éveillez en moi, vous, vos manieres, votre magie, votre parfum meme, d'étranges sentiments, des brides de souvenirs que je n'qrrive a saisir, ...
Que vous m'appreniez qui vous etes, car vous pronez une folie qui n'en est pas une, vous semblez plus saint d'esprit que bien des personnes, la seule folie qui vous caractérise est cette différence si enviable et si efrayante a la fois. Que vous m'appreniez votre nom, car je veux pouvoir vous nommer.

Vous cachez tant de secrets que vous me mettez mal a l'aise car vous semblez a la fois sage et inculte, vous pourriez etre le plus heureux des hommes ou la plus triste des créatures.

Peut etre suis je cupide, mais votre magie m'intéresse aussi. Qu'est elle? D'ou vient elle?

Et c'est surtout cette influence que vous avez sur moi. Comme une manipulation contre laquelle je ne peux rien, car ne veux rien, comme un animal docile. Laisser un inconnu me qualifier de "sauvageonne" n'est pas dans mes habitudes, laisser un inconnu me dénuder de la sorte encore moins, et pourtant, je me laisse faire car je me sens bien, comme entourée d'une douceur palpable, un drap de soie fraichement confectionné, des flammes qui m'encerclent sans me bruler.
J'ai peur de vous car je ne sais rien de vous, je sens meme le mal parfois, qui me regarde au travers de vos yeux, mais je ne veux meme pas me débattre, voyez, je parle meme malgré moi de ce que je ressens, je le regrette avant meme que les mots passent mes levres, mais je ne peux m'en empecher. Alors je cherche docilement a comprendre. N'y voyez la aucune soumission, peut etre une trop grande curiosite, ou une application de votre art sur moi, mais sachez que je me sens encore capable de prendre les armes, meme contre vous, et meme malgré cette crainte que vous m'inspirez. "

La jeune femme ferma les yeux et mit une main sur sa bouche.

" Pardonnez moi une fois encore, je n'ai que trop parlé..."

-Kaiser s'approcha du Chapelier et lui répondit . . .

Chère Chapelié je suis prète à être de votre côté je n'attend que vous !!!


-Kaiser resta la.